Un an après le décès de son épouse maman Blanche, le pasteur Marcello Tunasi, figure emblématique de la communauté chrétienne évangélique en Afrique francophone, s’est remarié. Il a uni sa vie à la soeur Esther, ce Mercredi 23 Juillet 2025.
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Le mariage, qui a été annoncé discrètement puis confirmé par des proches et sur les réseaux sociaux, a suscité une vive attention au sein de la communauté chrétienne. Pour beaucoup, cette nouvelle marque un tournant dans la vie personnelle du pasteur, encore très marqué par la perte de son épouse, Tunasi Blanche, décédée en juin 2024 après une longue maladie.
Un deuil encore présent
Le pasteur Tunasi avait partagé publiquement son chagrin à plusieurs reprises, notamment lors de cultes et sur les réseaux sociaux, exprimant l’impact profond qu’avait eu la disparition de celle qui fut à ses côtés durant plus de deux décennies. Leur couple était perçu comme un modèle par de nombreux fidèles.
« J’ai appris à pleurer en silence, mais aussi à faire confiance à Dieu même dans la vallée de l’ombre de la mort », avait-il déclaré quelques mois après le décès de son épouse.
Un nouveau chapitre
L’identité de la soeur Esther, désormais présentée comme la nouvelle épouse du pasteur, a été peu exposée publiquement. Selon plusieurs sources proches du couple, elle est également engagée dans le ministère et partage la vision spirituelle du pasteur Tunasi. Leur union a été bénie par les responsables de l’église et accueillie avec bienveillance par une partie des fidèles.
Cependant, la nouvelle n’a pas manqué de susciter des réactions diverses sur les réseaux sociaux. Si certains saluent la capacité du pasteur à tourner une page douloureuse et à retrouver l’amour, d’autres s’interrogent sur la rapidité de cette nouvelle union, moins d’un an après la disparition de sa précédente épouse.
Pasteur, conférencier et auteur apprécié dans plusieurs pays d’Afrique et d’Europe, Marcello Tunasi reste l’une des voix les plus influentes du protestantisme. Son remariage ouvre un nouveau chapitre de sa vie personnelle, qui s’écrira sans doute sous les yeux attentifs, et parfois critiques, du public.
